Après le ballastage, découpage de polystyrène : le gris provient de plaques d’isolation pour dalle. Il fait un peu moins de boulettes que le blanc mais le plus propre reste encore, à mon avis, le styrodur.

Je tartine tout ça avec de la colle à plaques de plâtre (MAP) pour la simple raison qu’il m’en reste un fond de sac. Je pratique la « sculpture » au pinceau, le résultat est aléatoire mais je m’en satisfais. Faudra un jour que j’essaie les rochers moulés en plâtre, j’en ai vu de superbes.

Et puis il faut un fond : j’avais une feuille de «plastique mousse » qui trainait par là . Je souhaite qu’elle reste amovible pour réduire l’encombrement en cas de transport, elle est ajustée « glissant juste » entre les flancs en contreplaqué.

Il me reste à fouiller mes stocks pour voir s’il me reste des leviers d’aiguillages « made by François Pignon ». Sinon, j’en prendrai à l’occasion d’une commande de trucs et bidules imprimés en 3D.
Ces leviers évitent de mettre mes gros doigts sur les lames d’aiguilles et leur réglage s’effectue facilement
